Les scientifiques continuent d’alerter les dirigeants mondiaux ainsi que leur population sur les conséquences du changement climatique. Ces informations peuvent être plus ou moins favorables à l’avenir de notre planète et de l’humanité. Ce lundi 9 janvier, un panel d’experts mandatés par l’ONU Environnement a publié un rapport favorable dur la couche d’ozone : d’ici 4 décennies, son trou pourrait de résorber.
Créé par la pollution d’origine humaine, le trou de la couche d’ozone, qui protège la Terre des dangereux rayonnements solaires, serait en « bonne voie » pour revenir à la normale d’ici quarante ans. La réduction de la pollution par les gaz émis par les réfrigérateurs et climatiseurs contribue à sa reconstruction.
230 chercheurs provenant de 30 pays expliquent : « L’élimination progressive de près de 99 % des substances interdites qui détruisent la couche d’ozone et contribue de façon notable à sa reconstitution dans la haute stratosphère et à une diminution de l’exposition humaine aux rayons ultraviolets (UV) nocifs du soleil. » Nous pouvons ainsi noter qu’il pourrait se résorber « d’ici environ 2066 au-dessus de l’Antarctique, 2045 au-dessus de l’Arctique et 2040 dans le reste du monde », souligne également le groupe d’expert de l’ONU.
Ce mardi 10 janvier, Didier Hauglustaine, climatologue et directeur de recherche au CNRS a réagi sur franceinfo : « C’est une bonne nouvelle qui montre qu’on peut arriver à améliorer les choses ».
Néanmoins, des scientifiques ont tout de même continué à mettre en garde contre des projets de géo-ingénierie visant à limiter le réchauffement climatique.
« Beaucoup d’incertitudes » sur les projets de géo-ingénierie ?
L’idée serait d’ajouter volontairement des aérosols dans la stratosphère pour ainsi renvoyer une partie des rayons solaires. L’un de ces projets consisterait à injecter des milliards de particules de soufre dans la couche supérieur de l’atmosphère.
Cette injection de particules dans l’atmosphère « pourrait avoir pour conséquence une grave baisse du niveau de l’ozone », averti John Pyle, coprésident du panel scientifique qui travaille sur l’ozone pour le compte de l’ONU. « Il y a beaucoup d’incertitudes », d’après lui.
Cela ramènerait à un retour à la case départ dont la planète et l’humanité pourraient bien se passer. « La chose la plus simple à faire est d’arrêter de relâcher des gaz à effet de serre dans l’atmosphère », a déclaré l’un des experts, John Pyle, cité par l’AFP.
Nous avons presque tous apprécié « l’été » dont nous avons profité ces derniers jours. Une température de 24 degrés à Paris fin octobre juste pour les vacances. Pourtant, tout le monde s’inquiète d’une telle chaleur. Est-ce réellement anormal ?
Consultons l’historique des températures relevées à Montsouris, au sud de Paris. Les relevés ont ici commencé en 1900.
Qu’observe-t-on ? Cette année est en effet plus chaude que la moyenne, mais c’est loin d’être la seule.
Récemment, on constate déjà des octobre chauds : 2014, 2017, 2018. Cela est totalement cohérent avec la période où la concentration en gaz à effet de serre est élevée. Mais que penser de 1969 ou bien de 1921 ? Il est bien trop difficile de démontrer le réchauffement climatique en se basant seulement sur notre mois d’octobre.
En revanche, ce graphique nous montre une tendance nette : depuis le milieu des années 1980, les mois d’octobre sont globalement plus chauds qu’au début du siècle.
Un autre indice nous inquiète : c’est le nombre de jours dans l’année où la température est au-dessus des moyennes habituelles. Chaque année nous battons de nouveaux records de hausse des températures.
Mais peut-être que ce phénomène est spécifique à la France ? Pour en être sûr, les scientifiques calculent une température moyenne mondiale que nous pouvons voir ici grâce à une courbe. La forme parle d’elle-même. Il y a clairement une tendance à la hausse.
Notre mois d’octobre ne peut pas à lui seul être attribué au réchauffement climatique. Cependant, des tendances à la hausse sont nettement établies ces dernières années. Les conséquences de ce réchauffement inquiètent fortement les scientifiques.
Elon Musk, un multimilliardaire américain et PDG de Tesla, constructeur d’automobile électrique a présenté deux prototypes de robot humanoïde appelé « Optimus ». La première version du robot, nommée « Bumble C » est arrivée ce vendredi 30 septembre en marchant, et a esquissé un salut de la main sur la scène californienne où se passait la conférence annuelle « Tesla Al Day » sur les progrès de l’intelligence artificielle de l’entreprise. Cette conférence a pour but de recruter plus d’ingénieurs afin de « transformer fondamentalement la civilisation ».
Déjà, en 2021, ce même multimilliardaire avait préalablement annoncé que son entreprise lancerait certainement l’année prochaine un prototype de robot humanoïde « Tesla Bot » pour but de remplacer les humains pour certaines tâches dites compromettantes. « Beaucoup de gens pensent que nous sommes juste un constructeur cool », mais Tesla est aussi « le leader de l’intelligence artificielle », a assuré Elon Musk.
« Je peux dire sans me tromper qu’il faudra bien plus de 10 ans avant qu’un bot humanoïde de n’importe quelle entreprise de la planète puisse aller au magasin et faire les courses à votre place » avait déclaré Raj Rajkumar en 2021, professeur d’ingénierie électrique et informatique à l’université Carnegie Mellon.
Elon Musk admet que d’autres organisations ont conçu des robots plus étudiés, toutefois « il leur manque un cerveau et ils n’ont pas l’intelligence nécessaire pour se mouvoir d’eux-mêmes (…) Et ils sont très chers », a-t-il déclaré. Il projette un robot qui coûtera « probablement moins de 20.000 Dollars » soit 20 398 Euro, et sera produit en « millions d’unités », ainsi, Il mise pour de premières livraisons d’ici trois à cinq ans.
Samedi 15 janvier 2022, une éruption volcanique sous-marine du volcan Hunga-Tonga dans l’océan pacifique a déclenché un tsunami impactant les îles Tonga. « On croit que l’eau va éteindre le volcan, c’est l’inverse » annonce le volcanologue Jacques-Marie Bardintzeff. En effet, des vagues de plus de 1,2 mètre ont frappé la capitale des Tonga. À cette heure, déjà 5 morts ont été enregistré, deux Tongiens, une femme britannique âgée de 50 ans et deux femmes qui se sont noyées au Pérou. L’onde de choc a été enregistrée jusqu’en France, et entendue en Alaska ce qui a déclenché un tsunami inondant le Chili, le Japon et les côtes des États-Unis. Ce volcan était déjà entré en éruption en 2009 et en 2014, et était sous surveillance avant qu’il n’entre en éruption. Cette catastrophe naturelle se répercutera-t-elle encore sur d’autres pays ? Neyalen
C’est l’histoire incroyable qui est arrivée à des pêcheurs du Yémen, l’un des pays le plus pauvre du monde.
Des pêcheurs ont repéré la dépouille d’une baleine flottant dans le golfe d’Aden situé au Yémen le 13 février dernier. Ils ont dû faire appel à d’autres pêcheurs pour rapporter le corps à terre. Au total, 37 personnes ont participé à cette opération.
Les pêcheurs ont ensuite découpé l’estomac de l’animal et découvert 127 kg de la précieuse sécrétion.
De quoi s’agit-il ? Le « vomi » de baleine, dénommé plus élégamment ambre gris, possède une immense valeur en raison de son utilisation dans l’industrie de la parfumerie.
L’ambre gris est en réalité une substance que l’on trouve dans l’appareil digestif des grands cachalots. C’est un amas de tout ce qu’ils ne digèrent pas, comme les os de seiche ou les becs de calamars qui s’agglomèrent pour former une masse : l’ambre gris.
Cette matière précieuse est également appelée « l’or flottant ». En effet, l’industrie de la parfumerie s’arrache le « vomi » de baleine en raison d’une de ses propriétés remarquables : l’ambre gris permet de fixer les odeurs pour préserver la senteur d’un parfum dans le temps. L’intérêt des grandes marques de luxe pour cette substance fait monter les prix, qui peuvent dépasser ceux de l’or. Les autres marques, moins prestigieuses remplacent ce luxueux « vomi » par des produits chimiques.
Sur le marché, un kilogramme d’ambre gris peut facilement atteindre des dizaines de milliers de dollars. Déjà en 2020, un pêcheur thaïlandais avait trouvé 6,5 kg de cette substance, estimés alors à 470.000 dollars (près de 390.000 euros).
La découverte de ce trésor pour les pêcheurs du Yémen pourrait ainsi les rendre multimillionnaires.
Le prix INSERM est un prix prestigieux dans le domaine des sciences qui valorise la recherche d’excellence. Il équivaut aux Oscars dans le domaine du cinéma. Cette année, ce sont 8 scientifiques et administratifs qui furent choisis, 5 lauréates et 3 lauréats. 2020 fut une année difficile, ainsi, tous les lauréats qui furent choisis ont contribué à améliorer la connaissance sur la Covid.
Cette année le Grand Prix fut décerné à Dominique Costaglolia. Elle est épidémiologiste, directrice de recherche à l’INSERM et directrice adjointe de l’Institut Pierre-Louis de santé publique. Dès 1986 Mme. Costaglolia a contribué à la recherche contre le VIH, elle a réussi à faire reculer sa progression. Puis début 2020, le consortium REACTing de l’INSERM a appelé Dominique Costaglolia en renfort au service de la lutte anti-Covid.
Dominique Costaglolia a été distinguée pour son expertise sur la lutte anti-Covid mais aussi pour sa carrière remarquable.
«Je n’oublie pas que derrière chaque chiffre, il y a des personnes».
Aujourd’hui, l’espace est devenu un marché comme un autre dont l’activité estimée pourrait atteindre 170 milliards de dollars en 2045. En 60 ans d’activité spatiale, plus de 42 000 objets ont été mis sur orbite autour de la Terre, selon l’agence spatiale européenne. En 2019, un satellite par jour a été mis sur orbite autour de notre planète, en 2025 ce chiffre pourrait passer à 3 par jour. Des dizaines de lanceurs de fusées, comme Firefly, offrent à celui qui le veut, la possibilité de placer son satellite dans le ciel. SpaceX enverra dans l’espace 12 000 petits satellites d’ici 2027 pour proposer l’internet à haut débit dans le monde entier. L’organisation américaine Aerospace Corporation prévoit plus de 67 000 alertes au crash par an dans un avenir proche. Certains milliardaires ont des projets, comme amener des touristes dans l’espace ou faire des randonnées lunaires avec le fondateur d’Amazon, Jeff Bezos.
Ces chiffres illustrent bien l’exploitation de l’espace comme un espace d’affirmation de la puissance d’un pays, de tension et de conflits mais également d’enjeux commerciaux. Ce qui paraissait hier comme de la pure fiction est devenu une réalité. L’espace est devenu un territoire de conflit entre les pays qui disposent de satellites. En 2020, plus de 1500 satellites civils ou militaires tournent autour de la Terre. Si ces satellites sont détournés de leur trajectoire ou perturbés, ils peuvent menacer le fonctionnement de nos sociétés ou des opérations militaires. La Russie a déjà mené des opérations d’intimidation envers la France dans l’espace qui devient un territoire disputé et contesté. Le Président de la République, Emmanuel Macron, a créé un grand commandement de l’espace rattaché à l’armée de l’air qui devient l’armée de l’air et de l’espace. Le général Philippe Lavigne est devenu depuis le mois de juillet 2020, le premier chef d’état-major de l’armée de l’air et de l’espace. Dans un article du Monde daté du 24 novembre 2020, il explique que des pays comme l’Inde, la Russie et la Chine ont la capacité de détruire un satellite depuis le sol. La France doit donc être à la hauteur pour faire face à ces menaces.
L’accès à l’espace devient de plus en plus facile, pour les opérations militaires comme pour les entreprises et acteurs privés, ce qui amène l’espace à être saturé. Les applications spatiales sont nées en Allemagne et en URSS dans les années 1950. L’URSS a mis en orbite le premier satellite artificiel de la Terre, Spoutnik, en 1957, puis dans les années 1970 des stations spatiales habitées (stations Saliout). Les applications spatiales commerciales se sont développées dans les années 1960 avec les télécommunications par satellite. L’observation depuis l’espace s’est banalisée avec l’apparition des premiers opérateurs commerciaux dans les années 1980 et devient indispensable à notre quotidien : météorologie, visualisation gratuite en ligne…
Aujourd’hui, l’espace est à tout le monde, ne connait pas de frontières et n’appartient à personne. Le président américain, Donald Trump, veut dominer l’espace pour en faire un terrain militaire. La Chine souhaite mettre sur orbite une première centrale à énergie solaire pour alimenter la Terre en énergie verte. L’Inde veut explorer le pôle sud de la Lune avec une station spatiale habitée dans quelques années.
« Si nous perdons la guerre dans l’espace, nous perdrons la guerre tout court », a dit devant l’Assemblée nationale le général Philippe Lavigne. La « guerre des étoiles » est devenue une guerre silencieuse mais une réalité.
Sources :
Le Monde, mardi 24 novembre « Défense, il nous faut conserver notre supériorité » entretien avec le général Philippe Lavigne.
L’Echo, « l’espace, zone de non-droit » janvier 2020.
France Culture : « L’Espace : un milieu toujours plus conflictuel et encombré »
Une extinction massive ou grande extinction, est un événement assez court par rapport aux temps géologiques (quelques millions d’années au maximum) au cours duquel 75 % minimum des espèces animales et végétales présentes sur la planète disparaissent.
Il y a déjà 5 grandes extinctions qui ont eu lieu :
-L’ordovicien, il y a environ 45 millions d’années ou 86% des espèces marines ont disparu.
-Le dévonien supérieur, il y a environ 360 millions d’années ou 75% des espèces marines auraient disparu.
-Le permien-trias, la plus destructrice de toutes ou entre 85% et 96% des espèces marines ont disparu, il y a 250 millions d’années.
-Le trias jurassique, il y a environ 200 à 215 million d’années ou la quasi-totalité des espèces terrestres et 70% des espèces marines ont disparu.
-Et enfin l’extinction la plus connue, le crétacé tertiaire, il y a 66 millions d’années ou presque tous les dinosaures ont disparu.
La 6e extinction, donc celle que nous sommes en train de vivre est inédite car d’une part elle est causée par l’homme et d’autre part elle est bien plus rapide car le très grand nombre d’espèces que nous sommes en train de perdre disparaît depuis 100 à 150 ans alors que dans les extinctions précédentes les espèces disparaissaient sur des périodes de plusieurs millions d’années.
Alors vous pouvez vous demander, en quoi la biodiversité est importante pour nous ?
Elle est importante pour nous car elle est nécessaire pour notre alimentation (pour ne pas manger toujours la même chose et avoir une diversité dans notre nutrition), la science et les recherches (étudier par exemple l’évolution grâce à l’étude des espèces) et au tourisme qui rapporte beaucoup d’argent (zoos et aquariums, écotourisme, safari…).
La perte de la biodiversité est une crise écologique qui implique l’extinction d’espèces (végétales ou animales)sur terre, la réduction ou la perte locale d’espèces dans un espace, et la disparition d’écosystèmes. Cette perte pourrait causer la sixième crise d’extinction majeure.
Cette perte de la biodiversité est causée par 4 facteurs :
-La destruction et la pollution de certains habitats (la forêt amazonienne, la grande barrière de corail…).
-La surexploitation (surpêche du cabillaud, la chasse des éléphants pour leurs défenses…).
-Le changement climatique (le crapaud doré d’Amérique central éteint à cause de la sécheresse, l’ours polaire qui voit son habitat de plus en plus réduit à cause de la fonte des glaces…).
-Et l’introduction d’une espèce invasive dans un milieu (le crapaud buffle en Australie qui risque d’avancer vers le sud et menace la biodiversité…).
Énormément d’espèces animales (12 500) sont menacées d’extinction. Elles le sont toutes à cause d’au moins une de ces raisons.
La tortue marine par exemple, est affectée par l’intégralité de ces raisons. Les tortues marines peuvent être trouvées dans tous les océans sauf l’océan Arctique. La taille moyenne des espèces va de 50 cm à 1 m. Ces espèces sont toutes vulnérables ou menacées. Elles font localement l’objet de protection ou de plan de restauration. Elles sont victimes de chasse et de braconnage : leur viande et leurs œufs sont mangés. Elles sont également tuées pour être empaillées et vendues en souvenir aux touristes. Les chercheurs estiment que chaque année les braconniers prélèvent 30 000 tortues vertes en basse Californie et que 50 000 tortues marines sont tuées en Asie du Sud-Est et dans le Pacifique Sud. Dans les années 60, plus d’un million de tortues étaient tuées tous les ans sur la côte pacifique du Mexique. Elles sont également victimes de nombreuses captures accidentelles. La pollution sonore des activités humaines les oblige à s’en aller des côtes et les véhicules sur les plages les obligent à trouver de nouveaux lieux de ponte. La pollution visuelle, telles que les lumières des routes et des bâtiments, empêchent les nouveaux nés de s’orienter et de rejoindre la mer. Les principales sources d’alimentation des tortues telles que les récifs coralliens ou les massifs d’algues sont régulièrement mis à l’épreuve ou détruit. En fonction de la région des tortues, des prédateurs qui n’étaient pas là autrefois peuvent s’attaquer à leurs œufs. Les changements climatiques et le réchauffement de la planète auront certainement un impact sur la survie des tortues marines. La détermination de leur sexe dépendant de la température, une augmentation de la chaleur au niveau des plages à pondaison, modifiera la proportion de mâles et de femelles et conduira à un déséquilibre des populations. De plus la montée des eaux réduira leurs espaces de pontes.
Malheureusement l’exemple de ces tortues est un exemple parmi tant d’autres.
Vous vous demandez peut être à présent, comment enrayer cette perte de la biodiversité ?
A notre échelle d’individu, on peut :
-Respecter la nature, ne pas tuer d’insecte, ne pas s’approcher des nids d’oiseaux, ne pas arracher de fleurs…
-Ne pas utiliser de désherbant ou d’insecticide.
-Privilégier les produits locaux et de saison
A l’échelle national ou international on pourrait :
-Interdire la pêche et le braconnage,
-Limiter le nombre d’hectares de forêt coupés,
-Protéger les océans, les coraux et tous ce qui y vie,
-Créer encore plus de réserve naturelle où les hommes n’auraient pas le droit d’aller,
-Limiter et interdire la production de certains plastiques.
En faisant des actions comme celles ci, en militant et en donnant à des associations à but non lucratif, on peut sauver notre planète et empêcher cette extinction de masse.
Créature surnaturelle, maléfique et cannibale qui vivrait dans les profondeurs des forêts d’Amérique du Nord : le Wendingo serait un ancien humain, transformé après avoir consommé de la chair humaine et serait en quête perpétuelle de nouvelles victimes. Il ressemblerait à un renne à l’allure humanoïde avec une maigreur extrême, symbole de la famine. Celui-ci est associé aux pêchés de gourmandise, cupidité et d’excès en tout genre ainsi qu’au froid. Bien que doté d’une grande force, il serait tout de même mortel. Le Wendingo n’aurait jamais été observé mais il reste omniprésent dans la culture américaine ainsi que dans les mythes. Les scientifiques estiment que le taux de probabilité que celui-ci existe réellement est proche de zéro. Mais on ne sait jamais, si un jour vous décidez de vous aventurer dans les forêts froides d’Amérique, méfiez-vous…
La cryptozoologie désigne la recherche des animaux dont l'existence ne peut pas être prouvée de manière irréfutable. Ces formes animales sont appelées cryptides.
J'annonce la création d'une nouvelle rubrique dans la quelle, régulièrement, je vous présenterai une cryptide, vous faisant part de son origine ainsi que de ses caractéristiques.
Ian Auger