156.

Itaewon, un quartier de Séoul connu pour ses boîtes de nuit, bars, restaurants et sa cuisine cosmopolite. C’est un lieu de rassemblement pour les étrangers venus à Séoul. Malheureusement, la fête d’Halloween qui s’y déroulait ce 30 octobre a tourné au cauchemar…

Cette année, après 2 ans sans pouvoir fêter Halloween en Corée du Sud à cause de la pandémie, et avec la réouverture des frontières du pays, ce sont des milliers de personnes qui se retrouvent à Itaewon pour faire la fête.

À 18h34, la police reçoit les premiers appels de détresse pour signaler qu’il y a trop de monde dans des endroits trop étroits et qu’il y a un gros risque d’accident. Pendant les trois heures qui suivent, de nombreux appels d’urgence sont passés et c’est à 22h11 que le dernier a lieu, quelques minutes seulement avant le drame.

Dans une rue de quatre mètres de large, les gens commencent à être coincés, certains tombent et se font marcher dessus par d’autres qui essayent de sortir de la rue. Certaines personnes réussissent à s’échapper en escaladant des bâtiments.

C’est un énorme mouvement de panique, les secours sont dépassés et n’arrivent pas à contrôler la situation, ils ne peuvent pas décoincer les gens et certains fêtards se retrouvent à faire des massages cardiaques.

Les gens ne prennent pas conscience tout de suite qu’il y a des morts, ils pensent que ce sont juste des personnes trop saoules et continuent de danser ou prennent des photos des cadavres sans se rendre compte de la situation. Les corps sont finalement mis sous des draps au milieu de la route et on compte finalement 156 décès dont un français.

Il n’y a pas eu de coupable désigné, mais des excuses de la part du ministre de l’Intérieur qui affirme qu’envoyer plus de policiers sur place n’aurait rien changé. Le Président Yoon Seok-Yeol a décrété un deuil national jusqu’au 5 novembre. Le chef de la police a également reconnu les erreurs qui ont eu lieu, les 137 policiers sur place n’étaient pas suffisants. Le maire de Séoul, Oh Se-Hoon, a également présenté ses excuses sans pouvoir retenir ses larmes et dit qu’il se sentait infiniment responsable de l’accident.

Sources :

https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=newssearch&cd=&ved=2ahUKEwj77Oitr5T7AhXDSvEDHWKYCJ0QxfQBKAB6BAgHEAE&url=https%3A%2F%2Fwww.lefigaro.fr%2Finternational%2Fcoree-du-sud-des-dizaines-de-personnes-en-arret-cardiaque-aux-celebrations-de-halloween-a-seoul-20221029&usg=AOvVaw2_in_adPMPkaAcGk5Daffp

https://www.leparisien.fr/faits-divers/coree-du-sud-ces-appels-durgence-qui-ont-prevenu-la-police-avant-le-drame-ditaewon-02-11-2022-R6VZH7DQOJG6TMU6R27GLYUO6M.php

https://www.lindependant.fr/2022/11/01/coree-du-sud-drame-dhalloween-a-seoul-le-ministre-de-linterieur-presente-ses-excuses-le-president-evoque-des-lacunes-10775611.php

https://actu.fr/monde/temoignage-mouvement-de-foule-meurtrier-a-seoul-originaire-de-la-manche-jeremy-a-echappe-au-drame_54911365.html

Lucie PRIVAT et Alba

Le chiffre de la semaine

82

Ce dimanche 25 avril, un incendie dans l’hôpital “Ibn al-Khatib” à Bagdad provoque la mort de 82 personnes.

Cet incendie est dû à “des bouteilles d’oxygène qui étaient stockées sans respect des conditions de sécurité” affirment des sources médicales.

Cet accident peut avoir un réel impact politique, étant donné la situation actuelle en Irak, en effet des élections anticipés sont prévues pour octobre.

Pour vous renseigner sur le sujet:

https://www.leparisien.fr/international/incendie-dans-un-hopital-de-bagdad-dedie-au-covid-19-au-moins-82-morts-110-blesses-25-04-2021-X2URKBEQVZB4LBJIXRQHSZPMXA.php

Mordjane Borsali

Le chiffre de la semaine

279


Au nord du Nigeria, à Jangebe, le vendredi 26 février 2021, 279 adolescentes ont été enlevées lors d’une attaque par des hommes armés dans leur pensionnat. Ces dernières ont été libérées le mardi 2 mars 2021, dans les locaux du gouvernement de l’État de Zamfara.
Yaro Bello Matawalle, le gouverneur de l’Etat s’est exprimé : «les 279 jeunes filles viennent juste d’arriver dans la maison du gouvernement et sont en bonne santé».
Il s’agit de la quatrième attaque dans une école en moins de trois mois. Dans cet État du nord, des groupes criminels, appelés « bandits », multiplient les vols de bétail et les enlèvements contre rançon depuis plus de dix ans. Les autorités de Zamfara sont habituées à discuter avec ces groupes criminels avec lesquels ils négocient depuis plus d’un an des accords d’amnistie en échange de la remise de leurs armes. Cependant à chaque libération, les autorités nient le paiement d’une quelconque rançon aux ravisseurs. Mais les experts en sécurité n’en ont aucun doute, et craignent que cela ne mène à une multiplication des enlèvements dans ces régions touchées par une extrême pauvreté et très peu ou pas du tout sécurisées. Ce nouvel enlèvement a ravivé le souvenir du rapt de Chibok, en 2014, lorsque le groupe djihadiste Boko Haram avait enlevé 276 lycéennes, dont certaines sont encore aujourd’hui portées disparues.

Sources :
https://www.liberation.fr/international/afrique/nigeria-279-lyceennes-enlevees-la-semaine-derniere-ont-ete-relachees-20210302_ECM3YE6EI5DVJHNCKNAN6DFC5M/
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/03/02/nigeria-liberation-de-centaines-d-ecolieresenlevees-dans-leur-pensionnat_6071648_3212.html
https://www.france24.com/fr/afrique/20210302-nigeria-plus-de-250-jeunes-filles-enlevées-dans-le-nord-ouest-ont-été-libérées


D.B. Alexandra

Le chiffre de la semaine

                                          100, Une lueur d’espoir?

Nous avons dit au revoir il y a à peine trois mois à l’année 2020 et toutes ses catastrophes, pour repartir sur de nouvelles bases et accueillir comme il se doit l’année 2021.

Cependant, ce n’est pas sur les chiffres affolants des contaminations au covid-19 que nous avons aujourd’hui voulu nous pencher, mais sur un autre fait social, présent, lui, depuis la nuit des temps: le féminicide.   

En effet, en 2020, en France, 100 femmes ont succombé à des violences machistes. Meilleur que les années précédentes, ce chiffre reste tout de même alarmant.  Plus connus sous le terme de féminicides, ces crimes sont aujourd’hui ancrés dans notre société; ils constituent la première cause de mortalité chez les femmes de 16 et 44 ans.

Mais alors, qu’est-ce qu’un féminicide?

Le mot féminicide est utilisé pour désigner le meurtre d’une ou plusieurs femmes uniquement pour leur condition féminine: lapidation des femmes, sélection prénatale, crimes d’honneur, femmes tuées par leurs conjoints ou par des inconnus dans la rue…. Cependant, attention, tout assassinat d’une femme n’est pas considéré comme un féminicide.  La nuance est donc assez complexe. Ces pratiques sont assez répandues en Chine, notamment en raison de la politique de l’enfant unique ou en Inde, où de nombreuses jeunes mariées sont tuées par leur belle-famille en raison d’une dot insuffisante. Dans notre quotidien, les féminicides les plus fréquents sont dits “intimes” (crime individuel commis par un partenaire ou un ex-partenaire) et associés aux violences conjugales.

De nombreuses femmes et associations militantes féministes dénoncent notamment la prise en charge insuffisante des victimes par les services de police, qui jugent parfois ces problèmes comme “privés”. En effet, la formation insuffisante des autorités référentes entraîne souvent le silence des victimes jusqu’à ce que cela leur soit fatal. En France, des progrès ont tout de même été notés: avec près de 50 féminicides de moins qu’en 2019, les chiffres enregistrés en 2020 n’ont jamais été aussi bas depuis 2006: une bonne nouvelle.

Mais alors, à quoi est due cette baisse? Réaction du gouvernement? Démocratisation du sujet? Entraide et sensibilisation favorisée par les réseaux sociaux? Confinement…? De nombreux facteurs semblent intervenir. Ce phénomène reste tout de même un fléau: “Chaque crime, chaque violence est un échec pour notre société, pour notre ministère de la Justice« , a affirmé Eric Dupont-Moretti, ministre de la justice. « Cette baisse tient au regard de notre société sur ces violences, elle tient au travail des associations, elle tient aussi aux moyens mis en place par le ministère. Nous avons obtenu ces résultats, ils sont encore trop modestes mais ils sont porteurs d’espoir« .

Depuis le début de l’année 2021, 14 femmes sont mortes tuées par leur conjoint ou ex-conjoint…

Inès Rousseaux

Chiffre de la semaine

76

C’est le nombre d’années qui viennent de s’écouler depuis la libération du camp d’extermination d’Auschwitz, en Pologne, par les soldats soviétiques de l’armée rouge, le 27 janvier 1945.
Auschwitz-Birkenau n’est pas le seul camp d’extermination créé par les nazis, mais il est
devenu le symbole de toutes les victimes de la barbarie nazie et de l’horreur du génocide des juifs, durant la Seconde Guerre mondiale.
Un million trois cents mille personnes ont été déportées dans ce camp de concentration et d’extermination. On estime qu’ 1,1 million de personnes, dont 1 million de Juifs, y ont été exterminés ; la majorité dans des chambres à gaz mais également par le travail forcé, la sous-alimentation. Sur 6 millions de Juifs exterminés, 1 million l’ont été à Auschwitz.
Cette année, en raison de la pandémie de Covid-19, le camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau célèbre, en ligne, le 76e anniversaire de sa libération. Les Britanniques sont donc invités à allumer une bougie et à la déposer par la suite sur le rebord de leur fenêtre, en signe d’hommage aux victimes de la Shoah, de l’Holocauste.
La “Shoah”, est un terme hébreu qui signifie “anéantissement, cataclysme, catastrophe, ruine, désolation” utilisé dans le monde francophone, pour désigner l’extermination planifiée et systématique du peuple juif, par l’Allemagne nazie. L’ “Holocauste” qui signifie en hébreu “sacrifice par le feu, ne laissant subsister aucune trace de la victime” est utilisé dans les pays anglo-saxons et l’Organisation des Nations Unis.
Des déclarations de dizaines de personnalités du monde entier ont afflué tout au long de la journée, pour appeler à ne jamais oublier; dans un monde où bientôt il n’y aura plus de survivants pour témoigner auprès des générations futures. Le Parlement européen a organisé une cérémonie virtuelle, ouverte par le discours du Président David Sassoli, puis des chants traditionnels yiddish, suivis de discours à distance de plusieurs rabbins européens et du chorégraphe Gyula Sàrközi, représentant de la communauté rom. Chaque année compte dans la commémoration du génocide du peuple juif.

Sources :
https://lepetitjournal.com/londres/auschwitz-birkenau-76-ans-apres-preservons-le-souvenir-2
97295,
https://www.sudouest.fr/2020/01/23/75e-anniversaire-de-la-liberation-du-camp-d-exterminati
on-nazi-d-auschwitz-7098496-5022.php,
https://parismatch.be/actualites/socie

Alexandra

Le chiffre de la semaine

60 000

Représente le nombre de détenus d’opinion en Égypte.

Depuis l’arrivée d’Abdel Fattah Al-Sissi au gouvernement égyptien, l’État a basculé dans une répression totale. En effet, des militants pro-démocratique, des journalistes indépendants et les représentants de minorités comme les LGBT sont détenus, disparaissent ou dans le pire des cas sont torturés. Tout ces actes ont été établis et prouvés mais continuent à être exécutés. Trump offre notamment a l’état égyptien une latitude totale.

D’après les ONG, Le Caire «se sert abusivement de la législation antiterroriste pour éradiquer le travail légitime en faveur des droits humains et supprimer toute dissidence pacifique». Puisqu’en effet, en 2017 la France a vendu pour près de 1,4 milliards d’armes à l’Égypte.

Ce lundi 7 décembre, M. Macron a reçu donc le président d’Égypte. Une rencontre sous pression puisque les représentants des défenseurs des droits humains exigeaient que le Président de la République prennent des mesures fortes face aux tortures, disparitions et détentions des militants des droits humains. Alors que Abdel Fattah Al-Sissi était toujours à Paris, en Égypte ce jeudi 10 décembre, 3 dirigeants d’organisation de droits humains ont étélibérés.

Source: Le Monde

Romane Malard

La pauvreté progresse fortement chez les jeunes…

22%

Il s’agit du taux de pauvreté chez les jeunes, le double de celui de la population générale. Cette sombre réalité avait déjà été révélée en novembre 2019 lorsqu’un étudiant s’était immolé par le feu devant le CROUS de Lyon pour dénoncer ses difficultés financières et la précarité dans laquelle vit un nombre croissant de jeunes durant leurs études. Selon le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, 37% des étudiants bénéficient d’une bourse sur critères sociaux. Une étude de l’Observatoire de la Vie Etudiante (OVE) montre également que près d’un tiers des étudiants renoncent à des soins pour des raisons financières.

En 2015, l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) a publié un rapport sur le plan de lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale , c’est-à-dire avec moins de 60 % du revenu médian, soit 987 euros par mois à cette date.

Cette proportion évolue donc défavorablement dans un contexte où, selon un rapport de l’Union Nationale des Etudiants de France (UNEF), le coût des études ne cesse d’augmenter depuis 10 ans. Les étudiants qui ont besoin de travailler pour financer leurs études sont les plus concernés par la pauvreté. et dans 19 % des cas, l’activité rémunérée est considérée comme concurrente aux études. Lorsqu’on est obligé de travailler plus de 20h par semaine, cela pénalise durablement la réussite des études. Pour une partie de cette jeunesse, celle qui ne peut pas bénéficier de la solidarité familiale, c’est l’apprentissage de la précarité qui peut avoir un impact durable. Parmi ces étudiants travailleurs, 54 % d’entre eux estiment que leur emploi est indispensable pour vivre. Et plus le fait de travailler devient une nécessité, plus les étudiants sacrifient leurs chances de réussite. Le rapport de la Fédération des Associations Générales Etudiantes (FAGE) publié le 18 août démontre que le coût de la rentrée 2019 est en hausse de 1,96% par rapport à la rentrée 2018 pour s’établir à 2 285,26 euros par étudiant.

Cette situation alarmante précède la crise de la Covid mais le confinement a eu un effet grossissant sur cette réalité méconnue ou ignorée. Pour de nombreux analystes, nous n’avons jamais vécu une situation aussi dégradée depuis la seconde guerre mondiale.

Avec la crise sanitaire, la France semble ouvrir les yeux sur cette réalité: des familles, des personnes seules, des jeunes ont besoin de l’aide alimentaire pour ne pas avoir faim. En 2020, 8 millions de personnes ont à subir cette humiliation, soit 12% de la population.

Aujourd’hui en France, 1 jeune sur 4 ne dispose ni d’aide ni de soutien familial et vit sous le seuil de pauvreté. La jeunesse est-elle sacrifiée ?

Sources:

Rapport IGAS 2015

Le monde, les décodeurs, article publié le 19 juin 2020

France Inter, émission « le téléphone sonne » le jeudi 19 novembre 2020

Mathilde HEMERY

Le chiffre de la semaine

244

C’est le nombre de rencontres qui ont été disputées entre le Real de Madrid et le FC Barcelone au football masculin.

La dernière s’étant effectuée ce samedi 24 octobre et s’étant soldée sur une victoire 3 buts à 1 du Real de Madrid. Chacun de ces clubs a toujours été sur le podium du football européen. Leur palmarès est hallucinant :

  • 13 ligues des champions pour le « Real », Coupe la plus prestigieuse d’Europe (c’est le club le plus titré), 11 Supercoupe d’Espagne, 34 championnats espagnols et 4 Coupes du monde des clubs.
  • 5 ligues des champions pour le « Barça », 13 Supercoupe d’Espagne, 26 championnats espagnols et 3 Coupes du monde des clubs.

Outre son niveau exceptionnel et son importance pour le titre capital, ce derby, nommé « El Classico » existe depuis à présent 120 ans et donne lieu en plus d’une rivalité footballistique, une rivalité entre la capitale de l’Espagne et celle de la Catalogne, ce qui rajoute un enjeu politique.

Ces matchs ont vu germé des pépites telles Lionel Messi et Cristiano Ronaldo, deux joueurs ayant les palmarès personnels les plus complets de l’histoire du football, Ronaldinho, Ronaldo, Zidane et bien d’autres encore…

Ce match a également un enjeu économique. En effet, lors du match de 2015, les chaînes de télévision à travers le monde ont enregistré le chiffre faramineux de 650 millions de téléspectateurs.

Daniel Biros

Le chiffre de la semaine

100 ans

C’est le nombre d’années qui se sont écoulées depuis l’invention du fameux vaccin BCG, qui combat la tuberculose. Il doit son nom à ses inventeurs, le vétérinaire Camille Guérin et le médecin Albert Calmette. Depuis sa création, 3 milliards de personnes l’ont reçu ce qui a sauvé de nombreuses vies. En effet, en 1920 entre 100 000 et 200 000 personnes décédaient chaque année de la tuberculose. Désormais nous ne comptons plus que 900 morts par an en France. Hormis son utilité incroyable, le vaccin BCG est entièrement gratuit. Il fut donc une invention considérable dans la lutte pour allonger l’espérance de vie des personnes au XXème siècle.

Ces derniers temps, le vaccin est de nouveau à l’ordre du jour.

Les souches de ce dernier se sont affaiblies au fil du temps et sont donc moins protectrices. Les médecins ont alors choisi de reprendre les premières éprouvettes de leurs ainés.

Source : francetvinfo.fr, LCi.fr.

Yanis WARNIER ; Daniel BIROS

Le chiffre de la semaine

10 000

Selon certaines rumeurs, la maquilleuse de Brigitte Macron serait payée 10 000€ par mois, ceci étant une fausse information véhiculée par des pages d’extrême droite en ligne. Ce genre de fausse information est appelée « mensonge viral ».
Cette rumeur est reprise sur plusieurs sites internet sensationnalistes et partagée par plusieurs groupes de « Gilets jaunes » sur Facebook.
Plusieurs sites non fiables, révélés par le Decodex du journal Le Monde, ont publié cette information dite « erronée ».
D’autres rumeurs de ce genre sont véhiculées, comme par exemple, le fait que « le porte-parole » de l’Elysée aurait confirmé cette « affirmation ». Il y a aussi un autre exemple qui choque : « une personne à l’Elysée » a fait un commentaire insultant et « irrespectueux » comme quoi la somme de 10 000 euros de frais de maquillage « n’est pas forcément une somme extravagante car il y a tout de même du boulot vu son âge, sans vouloir lui manquer de respect. »
Il ne faut pas chercher bien loin pour se rendre compte que ces rumeurs sont mensongères. Les sources de ses articles proviennent effectivement d’un canular du site parodique belge Nordpresse.be.

Jesssica ARULANADAM et Lana BAGOT