Le Film.

Début 2023, Omar Sy sort le 4 janvier le film «Tirailleurs » qui se déroule en 1917. Bakary Diallo s’enrôle dans l’armée française pour rejoindre Thierno, son fils de 17 ans, qui a été recruté de force. Envoyés sur le front, père et fils vont devoir affronter la guerre ensemble. Galvanisé par la fougue de son officier qui veut le conduire au cœur de la bataille, Thierno va s’affranchir et apprendre à devenir un homme, tandis que Bakary va tout faire pour l’arracher aux combats et le ramener sain et sauf. Ce film nous raconte l’histoire des tirailleurs sénégalais en temps de guerre , la 1ère Guerre mondiale (1914-1918) dans laquelle ils ont eu un rôle crucial dans la lutte contres les Allemands.
La polémique
En pleine promotion de son film dans le journal Le Parisien, Omar Sy va se retrouver au cœur d’une polémique malgré lui causée par cette phrase :
« Quand (la guerre) est en Afrique, vous êtes moins atteints ? ».
Une phrase pris hors contexte va lui attirer les foudres de nombreux/ses personnes qui pensent que l’acteur Français est un ingrat exilé a Los Angeles, un ingrat envers les Français ou encore, des personnes pensent que Omar Sy ne paie pas ses impôts en France ce qui est totalement faux. Des personnalités françaises comme notamment Nathalie Loiseau ancienne ministre chargée des Affaires européennes se mêle à l’histoire en tweetant :
« Il y a 58 militaires français qui sont morts au Sahel en luttant contre les jihadistes. Non, Omar Sy, les Français ne sont pas « moins atteints » par ce qui se passe « en Afrique ». Certains ont donné leur vie pour que les Maliens cessent d’être menacés par des terroristes. »
Il répondra sur le plateau du Quotidien qu’il ne doit rien à personne et qu’il n’a pas à se justifier sur ses propos, car il est tout simplement Français. Selon lui ses détracteurs essaient de faire un « nuage de fumée autour de son film ». Aux dernières nouvelles, suite au film, 4 figurants ont reçu une obligation de quitter le territoire Français alors qu’ils habitaient dans l’Hexagone depuis quelques années.
Affaire a suivre…
Breston