« J’ai vu de nombreux désastres humanitaires dans le monde mais je n’ai jamais vu de carnage climatique de cette ampleur » déclare le secrétaire générale des Nations Unis, Antonio Guterres en visite au Pakistan.

Depuis le mois d’août, le Pakistan est victime de violentes précipitations provoquant des inondations. Auparavant le pays avait subi des vagues de sécheresse inhabituelle pendant le printemps, puis de fortes averses ont touché le pays. Elles ont tué plus de 1400 personnes et ont noyé un tiers de la surface du pays. Deux tiers des surfaces submergées sont des terres agricoles et des centaines de villages ont disparu ainsi que de nombreuses infrastructures (ponts, routes,…).
Ces précipitations ont causé des pertes économiques énormes. D’après le Pouvoir central, les destructions du pays vaudraient au moins 18 milliards de dollar, soit 5% du PIB, mais, selon l’Organisation des Nations Unies, le montant temporaire atteindrait plus de 30 milliards de dollar.
Le WWA, organisme international destiné à analyser l’influence du changement climatique sur les phénomènes météorologiques extrêmes, annonce que le climat augmenté de 1,2°c par l’activité humaine à accentuer l’intensité des précipitations dans les provinces du Sindh et du Baloutchistan.
Kenza Faradji
Sources : Le Figaro, L’express, Le Monde, Franceinfo
La 1ère partie du texte est claire, la seconde plus confuse. Certains termes devraient être bien définis ( pouvoir central? PIB…). Peut-être aussi dire que les populations de ces pays comme le Pakistan subissent déjà les conséquences dramatiques du réchauffement climatique alors qu’elles n’en portent pas beaucoup la responsabilité si ce n’est que leur pays détient l’arme nucléaire…
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