La NBA s’invite à Londres

Londres a accueilli jeudi dernier son huitième match de saison régulière depuis 2011. Cela devient une habitude : pour convaincre ses fans, la NBA se délocalise dans d’autres pays. Après Mexico le 7 et 9 décembre derniers, c’est désormais au tour de Londres d’accueillir la NBA pour un show époustouflant. Au sommaire de ce jeudi, une belle affiche Boston le premier de la conférence et rencontre les Sixers de Philadelphie pour un match intéressant au niveau de l’ enjeu.

Le match se déroulait à l’O2 Arena, construite lors des Jeux Olympiques 2012 à Londres, cette salle a accueilli environ 20 000 fans venus apprécier le spectacle que la NBA leur offre. Cette opération de la NBA a surtout un but commercial en effet délocaliser des matchs à l’étranger permet d’ entrer en contact avec un public international et donc d’élargir leurs publics et toucher toujours plus de fans dans le monde entier. En tribune, on peut observer la présence  de nombreuses stars, comme des footballeurs. On trouve dans les tribunes des footballeurs d’Arsenal comme Alexandre Lacazette ou Olivier Giroud mais aussi des joueurs de Chelsea comme Eden Hazard, d’autres sont venus de plus loin comme Antoine Griezmann, grand fan de basket est venu spécialement de Madrid pour assister au match.

Sur le papier un match très intéressant comme je l’ai dit précédemment, les Sixers démarquent fort et mettent immédiatement 20 points d’avance sur les Celtics. On pense alors le match fini et que les Sixers vont s’imposer sans problème, mais les Celtics de Boston se réveillent en seconde période pour ensuite s’imposer 114 à 103.

Ce match londonien est donc une belle chose pour les fans du monde entier, c’est une bonne chose pour le basket mondial et permet la découverte du fameux basket américain dans le monde entier.

Nous nous posons alors la question suivante : A quand un match NBA à Paris ?

La question a été posée au président de la NBA en avant match. Adam Silver n’exclut pas le projet de voir un jour un match de saison régulière dans la capitale française, des discussions auraient même déjà eu lieu. Nous gardons espoir de voir un match de NBA à Paris.

Sources photos : nba.com /  AP Photo/John Locher

Martin Maurer

BEELZEBUB

Présentation du manga :

BEELZEBUB est un manga japonais, scénarisé et dessiné par Ryuhei Tamura. Il a été publié entre février 2009 et février 2014 dans le magazine Weekly Shōnen Jump de l’éditeur Shūeisha et totalise vingt-huit tomes, ce manga est de genre action, comédie et fantastique. il y a aussi un animé sortie entre les 9 janvier 2011 et 25 mars 2012, réalisé par Noubuhiro Takamoto et totalise 60 épisodes .

Résumé (Du premier tome):

Tatsumi Oga est un délinquant et étudiant au lycée d’Ishiyama qui est l’un des lycées les plus dangereux du Japon. « Il est surnommé Oga le fou furieux » par les autres étudiants. Un jour, il aperçoit un homme flottant à la surface d’une rivière, et décide de le sortir. Le corps de l’homme se sépare en deux et un bébé sort : Kaiser de Emperana Beelzebub IV, fils du roi des enfers. Il a été choisi pour être sont parent et doit donc élever le bébé jusqu’à ce qu’il soit en âge de détruire l’humanité… C’est la servante et « mère » du bébé, Hilda qui vient à sa rencontre pour tenter de reprendre le bébé, et c’est à ce moment-là que Baby Beel ne voulait pas la lâcher, à sa grande tristesse. Hilda lui explique qu’il est lié par un contrat avec le Beel et l’informe qu’il mourra s’ils sont séparés de plus de 15 mètres. Ne voulant pas assumer la charge du jeune maitre, alors Oga cherche à donner Baby Beel à quelqu’un d’autre, et les deux conditions très importante c’est que la personne soit plus forte et plus mauvaise que lui. Baby Beel s’attachera alors à cette personne au lieu d’Oga. Et le meilleur moyen de trouver cette personne, c’est au lycée d’Ishiyama. Ainsi commence l’histoire de de Tatsumi Oga , « père » du futur Roi des Démons.

Oga réussira-t-il à trouver un ennemi plus fort et plus diabolique que lui ?

Avis personnel :

J’ai découvert ce manga au CDI du lycée Montaigne. L’intérêt de ce genre de manga réside principalement dans la succession de gags, le scénario étant finalement plus un prétexte, une vague direction donnée au lecteur. Cela remplit bien les codes d’un manga original : et on ne  s’ennuie pas un seul moment car il y a tout le temps des intrigues pertinentes.

En résumé, un premier tome efficace qui pose les fondations d’une intrigue sympathique et qui promet des gags abondants!

Source : manga-sanctuary, Nautiljon,manga.

Aftis Abdelmoumene