L’application d’Ikea place

Avec la sortie de l’Ios 11(système d’exploitation chez l’entreprise APPLE) Ikea a sorti une application qui se nomme Ikea Place : cette application utilise toute la puissance de la réalité augmentée pour essayer les meubles directement chez vous avant de les acheter

L’application va scanner notre pièce pour ensuite essayer les 20.000 produits présents, elle est disponible qu’ au Etats-Unis et en France complètement traduite. Avec cela, Ikea va ainsi prendre de vitesse tout le monde.

Cette application va offrir aux gens la possibilité de tester leurs fauteuil ou la couleur de leur fauteuil, s- il est assorti à la maison avant de l’ acheter .D’ailleurs IKEA Place dispose d’une technologie qui va permettre de mettre les meubles à l’échelle de l’environnement, s’ il est adapté à la dimension réelle, selon l’endroit où vous vous situerez dans la pièce.

Cette application utilise la réalité augmentée. Cette technique consiste à superposer des images, ou des vidéos en 2D ou en 3D . Cette application utilise l’appareil photo de l’Iphone ou de Ipad d’Apple et cette technique utilise le même fonctionnement que Pokémon Go le jeu révolutionnaire de l’été 2016 ou les filtres Snapchat .

Dans la pratique, l’utilisateur n’a qu’à se promener dans le catalogue de meubles et sélectionner celui de son choix. Cela suffit à faire apparaitre le meuble en question sur l’écran, dans un environnement réel. L’application permet de déplacer le meuble, mais aussi d’en afficher plusieurs en même temps. Un énorme gain de temps qui peut aussi permettre d’éviter beaucoup d’achats inutiles. Ikea Place représente aussi une belle application opérationnelle de la technologie récente qu’est la réalité augmentée.

C’est une des applications des plus révélatrices de cette fin d’années 2017.

Aftis Abdelmoumene

Source : Numerama, Journaldugeek, RTL Futur, Marie Claire.

Finistère : pendant 30 ans, un hôpital a payé un médecin absent.

Jugé incompétent et écarté, un chef de service du centre hospitalier de Quimperlé a cependant continué à être rémunéré pendant trois décennies.

C’est une histoire qui paraît complètement invraisemblable. La chambre régionale des comptes de Bretagne a cependant publié jeudi 21 décembre un rapport dans lequel elle relate cette incohérence du système. Tout commence lorsqu’un médecin, dont le nom n’a pas été cité, est nommé chef de service en 1984 à l’hôpital de Quimperlé (Finistère). « Depuis cette date, plusieurs rapports émanant de diverses instances (…) ont relevé des problèmes quant à la manière de servir de ce médecin, mentionnant par exemple ‘une incompétence avérée’ ainsi que des problèmes de comportement, tant vis-à-vis du personnel que des patients, incompatibles avec ses fonctions », indique la chambre dans son rapport.

Mais ce dernier est néanmoins resté aux effectifs de l’établissement. « Outre un déficit d’image, il en est résulté un coût salarial de 130.000 euros par an et une privation de recettes annuelles estimée à 980.000 euros, soit un coût total de 5,5 millions d’euros entre 2012 et 2016 » pour l’hôpital, résume la chambre régionale des comptes.  Les magistrats pointent une « situation irrégulière, liée à une volonté de défense du corps des praticiens hospitaliers » qui « contrevient à l’intérêt général, aux intérêts du système de santé publique et de protection sociale et altère la pérennité financière de l’établissement ».

Le médecin a fini par prendre sa retraite

En 2004, l’agence régionale de l’hospitalisation (ARH) a même attribué une enveloppe de 124.000 euros par an à l’hôpital pour « compenser le surcoût lié à ce praticien sans affectation ni activité ». En 2010, le directeur de l’hôpital lui a demandé de faire valoir ses droits à la retraite mais ce dernier a refusé. Au 31 octobre 2016, il percevait une rémunération brute de près de 7.400 euros par mois. « Nous avons travaillé en concertation avec l’ARS pour régler le problème. Le médecin a pris sa retraite en janvier », a réagi Carole Brision, nouvelle directrice de l’hôpital de Quimperlé, précisant que « la chambre régionale avait mis en évidence la bonne maîtrise salariale de l’établissement ».

Hassanatou Bah

Le célèbre « Spiderman chinois » est mort.

Wu Yongning était l’un des rooftoppers les plus populaires en Chine. Il filmait ses ascensions urbaines vertigineuses sans aucune sécurité et partageait ses exploits sur le réseau social chinois Weibo. Au total, près de 300 expéditions filmées ont été publiées sur sa page et visionnées par un grand nombre dinternautes. Le jeune homme, qui avait appris les arts martiaux dans son enfance, avait transformé sa passion pour les sensations fortes en gagne-pain.

Le 8 novembre dernier, tout bascule. Wu Yongning se filme dans une énième ascension de gratte-ciel à Changsha. Tentant dimpressionner une nouvelle fois son public, le « Spiderman chinois » entame une petite série de tractions, les jambes pendues dans le vide. Après une légère pause de quelques secondes, le rooftopper essaie de remonter pour se stabiliser. Malheureusement celui-ci perd prise et atterri sur une terrasse plus bas.

L’annonce de sa mort a été rendue publique par son ex-compagne le 9 décembre, près d’un mois après laccident. Pour l’heure, il est encore difficile de savoir exactement dans quel contexte s’est déroulé laccident.

D’après les déclarations de sa famille, Wu Yongning espérait gagner 100.000 yuans (soit environ 13 000 euros) en participant à ce challenge. En réalité, il prévoyait de demander sa copine en mariage et financer ses noces ainsi que le traitement médical de sa mère avec largent du challenge.

Quest-ce que le rooftopping ?

Le rooftopping est une activité urbaine consistant à se prendre en vidéo ou en photo au sommet ou même au bord de hautes constructions.

Très répandue sur les réseaux sociaux depuis quelques années, cette tendance d’escalade clandestine et totalement illégale et réunit de nombreux adeptes à travers le monde entier.

Source photo : nautiljon.com

Kamila KACIR et Anaëlle Marty