Un diaporama sur le site leparisien.fr, nous montre quelques images des ravages du terrible séisme ayant eu lieu en Equateur, sur la côte pacifique. Des témoignages sont d’ailleurs affichés en bas de page.
Nicolas Boulais.
Ce blog est celui de la classe médias du lycée Montaigne. Les élèves postent leurs articles, font des reportages et réagissent à l'actualité.
Un diaporama sur le site leparisien.fr, nous montre quelques images des ravages du terrible séisme ayant eu lieu en Equateur, sur la côte pacifique. Des témoignages sont d’ailleurs affichés en bas de page.
Nicolas Boulais.
La liberté (du latin liber : libre) est l’état de quelqu’un ou d’un peuple qui ne subit aucune soumission, contraintes, servitudes ou dans le cas de notre article et des événements récents, de tyrannie de la part d’un gouvernement ou d’une puissance étrangère. C’est aussi le fait de n’être ni sous la dépendance, ni prisonnier de quelqu’un ou d’un groupe de personnes.
Mais avec les attentats, les blocus ou les manifestations qui ont tourné à l’affrontement, avec certains abus de droits et de libertés, nous pouvons nous demander quelles sont les limites de ces libertés ?
La France connaît ces derniers temps de nombreuses manifestations accompagnées de blocus lycéens par rapport à la réforme travail de Mme El-Khomri. Les manifestations sont autorisées par la loi à condition qu’elles ne nuisent pas à autrui auquel cas d’après l’article 431-3 du Code Pénal, « tout rassemblement de personnes sur la voie publique ou dans un lieu public susceptible de porter atteinte à l’ordre public (…) peut être dissipé par la force publique ». Cependant, les précédents blocus montrent un abus de pouvoir et de liberté de la part des manifestants et aussi des forces de police.
En effet, du côté des forces de l’ordre, des abus de pouvoir ont été signalés sur des manifestants. Nous rappelons les faits : le 24 mars 2016, un policier a frappé un jeune lycéen dont les coups ont été qualifiés de « non proportionnés » ce qui a entraîné une enquête de la part de l’IGPN. Mais les violations du Code Pénal sont aussi présentes côté étudiant : prenons l’exemple des manifestations du 17 mars 2016, plus de 200 000 personnes avaient défilé et 23 personnes avaient été interpellées. Les raisons de ces interpellations ? Des étudiants avaient envahi la gare de Rennes bloquant tout le trafic, des incidents devant la mairie ont eu lieu et nous ne citerons pas les dizaines d’autres qui avaient eu lieu dans d’autres manifestations. Cela pour dire que les libertés laissées par l’Etat aux forces de police et aux manifestants ont été dégradées, que les lois qui encadrent notre vie en société n’ont pas été respectées.
Autre exemple qui fait référence aux heures sombres que nous venons de passer au sujet des attentats terroristes. Rappelons les différents faits qui ont touché notre pays et son voisinage : le 7 janvier 2015, les locaux de Charlie Hebdo sont attaqués, 12 morts sont comptés ; le 13 novembre 2015, des terroristes prennent d’assaut le Bataclan, les bars de l’Est parisien et pour la première fois en France, des kamikazes se font exploser au Stade de France ( 130 morts) ; enfin, en Belgique, des attentats sont perpétrés à l’aéroport de Bruxelles et dans un métro, 35 morts au total.
Toutes ces attaques visent directement nos nations, l’ordre dans le monde et surtout nos libertés. Il s’agit de la liberté qu’avait toutes ces victimes et que nous avons-nous aussi aujourd’hui-, de sortir, de s’amuser, d’avoir une croyance ou même de ne pas en avoir. Mais ces jours d’attentats ont montré que des individus ont voulu au nom d’une religion (ce qui entraîne sa stigmatisation) semer la terreur et asseoir leur pouvoir.
Avec tous ces exemples nous avons pu voir quelles étaient les limites de la liberté quand celles des uns limitent et anéantissent celles des autres.
Nous pouvons nous demander aujourd’hui pourquoi de tels actes sont encore possibles et si nous ne sommes pas en train de vivre une régression générale de la notion de liberté.
La classe média
Une web-série produite par studio 4 qui dénonce le sexisme de notre société à travers une société parallèle où les hommes sont les victimes.
https://www.youtube.com/watch?v=-d80vDUVC0g
Louise Renaud
De plus en plus d’accidents
« Il a été demandé aux préfets, par circulaire en date du 31 mars, d’accentuer les contrôles routiers et de solliciter une autorisation des maires pour que les polices municipales viennent renforcer l’action de l’ordre », c’est ce qu’a communiqué la sécurité routière lors d’un communiqué de presse le vendredi 15 mars.
Cela fait suite à une forte augmentation d’accidents mortels de la route. En effet, d’après ce communiqué le taux de mortalité aurait augmenté de plus de 14% depuis mars 2015. De même pour le nombre de personnes blessées par accident de la route (près de 5% supplémentaires).
Pour en savoir plus : http://www.securite-routiere.gouv.fr/medias/espace-presse/publications-presse/mars-2016-hausse-de-la-mortalite-routiere-de-14-2-par-rapport-a-mars-2015
Louise Renaud
Ponctuellement, nous, enseignants de la Classe Média du lycée Montaigne, faisons une analyse de la place d’un média dans notre société. En cette fin d’année, le thème abordé est « la télévision et l’information ». Nous avons voulu montrer l’omniprésence de ce support et son importance auprès des téléspectateurs. En effet, la télévision est présente dans la quasi totalité des ménages et elle est pour la plupart d’entre nous la seule source d’informations.
Comme pourrait le dire, Charles-Yves Zarka, elle façonne l’opinion publique et exerce une forme de fascination consciente ou inconsciente sur ceux qui la regarde. C’est pourquoi, ce zoom sur ce média entre dans notre enseignement et offre les outils pour la décoder afin de comprendre aussi ce que certains appellent la « dictature de l’audimat ».
La Classe Média
A vous de voir la version française de l’émission québécoise Les recettes Pompettes, qui fait réagir le gouvernement et le ministère de la santé.
Camille Aubert
Voici l’interview de Philippe Pascot par Jean-Jacques Bourdin pour présenter son livre, Le pillage de la République, diffusée sur RMC. « Informer, les conséquences politiques de l’information ».
Voici une vidéo extraite d’une chaine youtube, rosecarpet, qui traite du harcèlement qui concerne un trop grand nombre de personnes au quotidien.
https://m.youtube.com/watch?v=_9G-TY5rAq0
Nathalie Varela
Une version revisitée plaisante et moderne.
Batman V Superman : Dawn of Justice, est un film adapté des comics de Geoff Johns et Frank Miller. Il a été réalisé par Zack Snyder (300, Watchmen, Man of Steel). Il réalise la suite de Man of Steel (2013) dans un style plus rafraîchissant et moderne, notamment lors de sa représentation de Batman (bien que sa représentation soit plus fidèle aux comics, les fans jugent, de toute façon, la trilogie The Dark Knight de Christopher Nolan, indétrônable.). Ce film est une véritable claque visuelle.
Comic Book de Geoff Johns et Frank Miller de Batman VS Superman.
Les auteurs de ce Comic Book travaillent en équipe avec cinq autres personnes dont, en partie, les créateurs de Superman.
Bill Finger et Bob Kane, créateurs de Batman, ne sont pas à l’affiche mais l’univers sombre de Batman est respecté dans le Comic Book et dans son adaptation au cinéma.
Casting.
Avec Snyder à la réalisation et Nolan à la production, nous pouvons nous attendre à un casting grandiose. En effet, Ben Affleck (Gone Girl, Armageddon, Argo,…) incarne le nouveau Batman et Henry Cavill (Agents très Spéciaux : Code U.N.C.L.E., Sans issue, Man of Steel,…) ré endosse son costume de Superman. On peut voir également Amy Adams (Big Eyes, Fighter, American Bluff,…) en Loïs Lane ou encore Jesse Eisenberg (Insaisissables, American Ultra, The Social Network,…) en Lex Luthor. Un casting cinq étoiles !
Synopsis.
Craignant que Superman n’abuse de sa toute-puissance, le Chevalier noir décide de l’affronter : le monde a-t-il davantage besoin d’un super-héros aux pouvoirs sans limite ou d’un justicier à la force redoutable mais d’origine humaine ? Pendant ce temps-là, une terrible menace se profile à l’horizon…
Critique.
Une grosse claque, c’est ce que le film donne comme impression. La plus grande licence rivale de Marvel démarre fortement son introduction dans l’univers de la ligue des Justiciers. Bien qu’ayant déçu quelques fans sur le plan scénaristique, cet opus de la saga DC Comics nous offre une image exceptionnelle pleine d’effets spéciaux. L’univers sombre de DC refait surface avec une pointe de modernité.
Même dans un film de ce genre, Snyder pose sa patte : une ambiance ténébreuse avec une pointe de démence. Quant à la nouvelle représentation de Batman, je pense que celle-ci est plus fidèle aux comics que la précédente trilogie de Christopher Nolan mais sa présence est remarquable à travers les dialogues des personnages qui ont tendance à paraphraser tout ce qu’ils disent. La modernité se fait ressentir à travers les combats, plus accélérés mais moins réalistes.
De plus, l’interprétation de Jesse Eisenberg en Lex Luthor est remarquable. Cet acteur nous avait déjà impressionnés en Mark Zuckerberg dans The Social Network, mais dans ce film, il nous montre une autre facette de son jeu d’acteur : la folie.
Superman V Batman : Dawn of Justice est une superbe entrée en matière dans l’univers de DC. Quant à ceux qui ont vu le film, ne vous en faites pas, nous le reverrons en 2017 dans Justice League – Part 1.
Je le conseille à toutes personnes qui veulent découvrir cet univers.
Nicolas Boulais